Vingt-quatre mille baisers - Françoise De Luca
"Le premier amour, ce n’est pas juste un amour, c’est l’éternité."
4e couverture:
Les nouvelles de Vingt-quatre mille baisers explorent la genèse de l’amour. Des petits abandons de l’enfance aux femmes enchanteresses en passant par les élans littéraires qui font voyager, ces textes brefs nous offrent les talismans du cœur et posent une grande question hypnotique : Comment devient-on qui ont est? Avec en filigrane la chanson italienne. Un baume pour le myocarde.
Ce week-end, je suis allée faire du shopping à Montréal et puisque à ce moment-là je lisais un pavé et qu’on sait qu’un gros pavé ça se trimbale mal dans le Métro, j’ai pigé dans ma PAL ce tout petit recueil qui contient neuf jolies nouvelles. Parfait pour mon petit sac à main!
C’est confirmé, j’aime beaucoup les recueils de nouvelles! J’ai tout d’abord été attirée par la couverture de ce livre, n’est-ce pas qu’elle est magnifique!? Ce recueil est rempli de doux souvenirs, de musique italienne, d’amour pour les voyages et de passion pour la littérature. C’est chaleureux, enveloppant. J’ai souligné (dans mon cahier bien sûr!) tout plein de petits passages, des petites perles d’écriture qui font de ce livre un vrai bijou.
9/10
Extraits :
"La petite fille grandit dans la musique verte des mots. Elle grandit dans les livres, elle grandit au dehors. La langue et la nature ont la même respiration. Elles habitent le même désir. Elles sont son chez-elle, sa demeure ouverte." p.15
"J’ai respiré longtemps dans les mots d’un poète." p.31
"J’aime les livres neufs, leur épaisseur compacte, leur odeur. J’aime m’émerveiller de ce qu’ils ne disent pas encore. Ouvrir un livre neuf, c’est comme marcher dans la neige qui n’a pas encore été foulée." p.42
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Vingt-quatre mille baisers, Françoise De Luca, Marchand de feuilles, 2008, 102p. . .